Pour être respectée une limite de vitesse doit correspondre à des "bonnes pratiques", mais ces dernières n'ont jamais été écrites dans des textes de référence qui ne doivent pas avoir la valeur d'une réglementation mais permettre aux responsables d'une infrastructure d'adopter des limitations de vitesse cohérentes avec des notions de bon sens et des références de bonne pratique.
Exemple de deux vitesses successives différentes sur le même tronçon de voie avec une absence de cohérence entre les vitesses retenues.
D 307 après la sortie de la Celle Saint Cloud en se dirigeant vers l'ouest (Rocquencourt, Bailly), photos prises le 12 décembre 2006.
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300 mètres après le panneau de fin d'agglomération (qui ne portait aucune indication de poursuite de la limitation à 50 km/h !) l'usager est averti de la limitation à 50 km/h. Il s'agit d'une deux fois deux voies avec un séparateur médian planté, on distingue plus loin le départ d'une bretelle et il y aura ensuite une fusion de voies. En l'absence de cisaillements de circulation une simple fusion de voie permettait 70 km/h. |
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400 mètres après le panneau de "rappel" de la limitation de vitesse à 50 km/h la D307 est passé sous la RN 186 et elle reçoit la bretelle qui vient de cette voie (elle apparaît sur la droite de la photo). L'usager constate à ce niveau que la vitesse limite est accrue à 70 km/h alors que l'on aborde un cisaillement des circulations, deux voies continuent pour emprunter le mini-tunnel devant l'INRIA, et les usagers qui veulent aller à Rocquencourt centre vont couper la trajectoire de ceux qui viennent de la bretelle de droite et veulent emprunter les files vers le mini-tunnel. Cette zone est nettement plus problématique que la précédente et il est incohérent d'avoir 50 puis 70 comme limite de vitesse alors que l'on passe du moins dangereux vers le plus dangereux. |